allez Fabien, je suis sûr que le Komité acceptera une continuité un peu lâche : t'es pas obligé de nous mettre un vieux tromblon, une superbe créature qui boit un verre dans un bar, ça fera l'affaire...
c'est clair. à la suite du lâche attentat de LV, le jdi se trouve un peu comme la Grèce ou l'UMP... atone. perdu. sans force. le comité prendra ses responsabilités.
A bas le fascisme rampant d'un comité aux abois : voici le bilan serein que je tire des derniers échanges. Qu'LV compte sur mon soutien, comme d'habitude lorsque le spectre de la dictature esthétique plane sur les rebonds du JDI.
Une histoire simple. Toute simple. Celle d'Irène, une comédienne mariée, en tournée dans le Nord avec son one-woman-show, qui rencontre, pendant quelques jours, un homme du coin. Yolande Moreau (Irène) et Gilles Porte, les scénaristes et réalisateurs, ont préféré la banalité du quotidien au psychodrame à péripéties. Mais, à force d'être dans la banalité, même assumée, l'histoire devient prévisible et il est bien difficile de s'accrocher au récit. Reste, et c'est déjà beaucoup, la belle humanité qui transpire à chaque image et l'extraordinaire interprétation de Yolande Moreau, femme et amoureuse, émouvante et drôle, présente et décalée. Du grand art.
Non vraiment ! F.H passe son tour et c'est lcvertigo de trouver la version glamour de yolande ! P... C'est le bagne le jdi. Je comptais sur le rebond de F.H ! pour sortir de "l'ornière" du "sillon" creusés par L.V.
C'est pas aujourd'hui l'image. Et demain je suis girondin ! J'aurai pas tous le matos de femmes à poils dans les bars de luxe de la 5e avenue.
Je propose que l'on élise "Anonyme de Feb 14, 2012 01:09 PM" au Comité d'Éthique et de Régulation pour la défense de films qui ne sont pas dans l'actuelle ligne officielle du JDI.
la ligne : de bons films, de bonnes images ? quoi qu'on entende par là. on ajoutera, attention à google, ce n'est pas le jeu des moteurs de recherche, autant que possible, mais bon.
et bé, LV, si tu appelles ça une défense... pour moi, ça dit que ça ne vaut pas grand chose mais qu'on (qui ?) aime bien yolande moreau, alors on est indulgent. sinon je suis d'accord pour l'intégrer au CER....
lequel ne peut que déplorer encore une fois l'impasse à laquelle nous mène le choix d'images improbables de film de la même farine. (sans compter que c'est pas cette image qui donnera envie, faut pas s'la raconter)
comptons sur LcVertigo. les terres girondines ne sont pas si déshéritées, euskador en témoigne tous les jours !
allez Fabien, je suis sûr que le Komité acceptera une continuité un peu lâche : t'es pas obligé de nous mettre un vieux tromblon, une superbe créature qui boit un verre dans un bar, ça fera l'affaire...
RépondreSupprimerc'est clair.
RépondreSupprimerà la suite du lâche attentat de LV, le jdi se trouve un peu comme la Grèce ou l'UMP... atone. perdu. sans force. le comité prendra ses responsabilités.
A bas le fascisme rampant d'un comité aux abois : voici le bilan serein que je tire des derniers échanges. Qu'LV compte sur mon soutien, comme d'habitude lorsque le spectre de la dictature esthétique plane sur les rebonds du JDI.
RépondreSupprimerBon a part ça, Fabien H., c'est quand tu veux
RépondreSupprimerLes gars je suis désolé je suis pas chez moi pour la semaine, j'ai pas d'ordi et je bosse toute la journée
RépondreSupprimerJe vais devoir passe mon tour....
Passer mon tour
RépondreSupprimerbigueboute, fais pas le malin, personne, non, personne, ne va aller se taper les films de yolande moreau....
RépondreSupprimersoyons clairs.
cet épisode malheureux fait presque regretter orca.
on vieillit.
sinon, oui, fabien H, quand tu veux.
élégance et vrais bons films...
la déprime post LV a des limites !!
Une histoire simple. Toute simple. Celle d'Irène, une comédienne mariée, en tournée dans le Nord avec son one-woman-show, qui rencontre, pendant quelques jours, un homme du coin. Yolande Moreau (Irène) et Gilles Porte, les scénaristes et réalisateurs, ont préféré la banalité du quotidien au psychodrame à péripéties. Mais, à force d'être dans la banalité, même assumée, l'histoire devient prévisible et il est bien difficile de s'accrocher au récit. Reste, et c'est déjà beaucoup, la belle humanité qui transpire à chaque image et l'extraordinaire interprétation de Yolande Moreau, femme et amoureuse, émouvante et drôle, présente et décalée. Du grand art.
RépondreSupprimerbon bon, ok, FH.
RépondreSupprimerdommache.
à qui le tour ?
LcVertigo.
on est tranquilles, les films "prévisibles" de yolande moreau, c'est pas son truc.
"et c'est déjà beaucoup".
RépondreSupprimerah ah.
ça veut tout dire.
Non vraiment ! F.H passe son tour et c'est lcvertigo de trouver la version glamour de yolande ! P... C'est le bagne le jdi. Je comptais sur le rebond de F.H ! pour sortir de "l'ornière" du "sillon" creusés par L.V.
RépondreSupprimerC'est pas aujourd'hui l'image. Et demain je suis girondin ! J'aurai pas tous le matos de femmes à poils dans les bars de luxe de la 5e avenue.
allez, il faut assurer.
RépondreSupprimerJe propose que l'on élise "Anonyme de Feb 14, 2012 01:09 PM" au Comité d'Éthique et de Régulation pour la défense de films qui ne sont pas dans l'actuelle ligne officielle du JDI.
RépondreSupprimerla ligne : de bons films, de bonnes images ? quoi qu'on entende par là.
Supprimeron ajoutera, attention à google, ce n'est pas le jeu des moteurs de recherche, autant que possible, mais bon.
et bé, LV, si tu appelles ça une défense...
RépondreSupprimerpour moi, ça dit que ça ne vaut pas grand chose mais qu'on (qui ?) aime bien yolande moreau, alors on est indulgent.
sinon je suis d'accord pour l'intégrer au CER....
lequel ne peut que déplorer encore une fois l'impasse à laquelle nous mène le choix d'images improbables de film de la même farine. (sans compter que c'est pas cette image qui donnera envie, faut pas s'la raconter)
comptons sur LcVertigo. les terres girondines ne sont pas si déshéritées, euskador en témoigne tous les jours !